RELATIONS PRESSE
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ARTICLES & CHRONIQUES
Micr’ouvert – Zoubida Fall, auteure, podcasteuse sénégalaise : «Conversations féminines participe à la transmission intergénérationnelle» - LE QUOTIDIEN SN (27/08/22)
Effervescence sur les réseaux sociaux : L’âge d’or du podcast - LE QUOTIDIEN SN (27/08/22)
Zoubida FALL, l'auteure sénégalaise qui fait bouger la littérature avec son blog - HAKILI TIMES (18/02/21)
Lire, écrire et écouter : Zoubida Fall, une auteure qui fait bouger la littérature avec son blog - BBC AFRIQUE (06/01/21)
« Les miroirs du silence » de Zoubida Bengeloune Fall : un regard drôlement inspiré sur des tranches de vie - LE GRENIER DE KIBILI (15/06/20)
Entretien avec Zoubida Bengeloune Fall, novelliste sénégalaise - LITTERATURE D'AILLEURS DE LEE HAM (2020)
Chronique de Aminata Fall Dia sur LES MIROIRS DU SILENCE, IMPRESSIONS (05/12/18)
C’est pour moi un réel plaisir de vous présenter la chronique complète de Aminata Fall du recueil « Les Miroirs du silence » lors de son passage dans « Impressions » de Sada Kane
J’ai le plaisir de présenter aujourd’hui cette œuvre « Les miroirs du silence », recueil de nouvelles écrit par Zoubida Bengeloune FALL qui est sénégalaise, communicante de profession et bloggeuse.
Elle a baptisé son blog ‘’DuKoKalam’’, un jeu de mots qui renvoie à l’univers de l’auteure : Zoubida Fall c’est le vague à l’âme d’une observatrice qui vogue allègrement sur une foultitude de vies chapardées un court instant.
Elle a ce côté inquisiteur discret, car c’est elle partout dans le livre mais c’est aussi elle dix-neuf autres fois à travers des personnages fictifs. Ses personnages sont très variés allant du mari agacé par la docilité excessive de son épouse, à l’étudiant dont les parents triment pour payer sa scolarité, en passant par le marchand ambulant au quotidien éreintant.
La tonalité de l’ouvrage est naturaliste. Le happy end a été soigneusement évité sauf pour Borom table bi, la vendeuse de légumes, Jeune cadre dynamique et Girl empowerment. Qui sont les histoires qui me semblent les plus percutantes. Car elles n’affichent aucun pathos, font rire –même s’il s’agit d’un rire jaune– et laissent une belle place à l’espoir pour ce qui est de la bravoure de la vendeuse de légumes. Nouvelle dans laquelle on trouve un incipit très beau. Page 90 « …. »
C’est bien le seul couple heureux du livre. Et il en regorge d’histoires de couples échouant leur relation par A ou par B. L’auteure ne veut donner de fin heureuse à à peu près aucun de ses personnages ; hommes, femmes, enfants, auront chacun à subir misère et malheurs. On va les voir souffrir. La férocité du destin déliquescent qu’elle assène à une toute jeune fille jusqu’à la folie, va en émouvoir plus d’un.
On peut facilement s’enliser avec ses sujets sensibles qui véhiculent soit un excès de bons sentiments soit l’inverse, l’excès de négativité. L’auteure a la pudeur de ne justement jamais trop en dire. On trouvera même que c’est un chouia trop court. Je comprends bien cette concision. Un peu plus et on tomberait dans la caricature. Et voici un des points forts du livre, c’est la justesse du propos. Les instants de vie projetées ressemblent à de la non-fiction, un genre que j’affectionne. Car il est gage d’authenticité. Ces personnages sont crédibles et réalistes à s’y méprendre.
C’est remarquable aussi comment ces furtives histoires forment un précipité de la vie du sénégalais lambda. Qui cherche obstinément à trouver du travail, subissant l’injonction de gagner de l’argent, et qui lorsqu’il travaille, échoue à contenter les besoins de sa famille avec ses maigres moyens.
Le décor dakarois, à deux ou trois exceptions près, est celui des couches défavorisées et même celui des classes moyennes qui se sont paupérisées. Avec comme corollaire le délitement familial. Cette désillusion est bien rendue dans le vendeur à la sauvette. Extrait page 69 « … »
Le cheminement de ce livre est celui d’un travail de groupe, la MAD TEAM. Une bande de gais lurons très actifs sur les réseaux sociaux qui ont cloué au pinacle Zoubida Fall et l’ont soutenue dans ce projet de donner corps à un art d’écrire qui n’avait qu’une existence virtuelle. A n’en pas douter,l’édition en valait la peine. L’auteur connaît son sujet sur le bout des doigts. Et c’est un plaisir de lire ces histoires si accrocheuses et bien de chez nous.
Petit bémol : le wolof est-il vraiment soluble dans le français écrit ?
Terminons par un grand bravissimo ! Zoubida.
Aminata FALL DIA
PS: Aminata Fall Dia est aussi auteur et a signé son premier roman intitulé « Une africaine au Japon » sous le nom de Nina Wade.
PPS : Retrouvez mon livre à l’achat ici
Les Miroirs du silence : reflet d’une société en constante mutation - AFRICULTURELLE (26/10/18)
Au Burkina sur WatFM (07/12/17)
Le 7 décembre du Kokalam a été à l’honneur sur la radio WatFM dans la rubrique #JeudiJeLis. J’attendais de recevoir le fichier audio pour vous le partager, c’est fait maintenant.
Merci à Rabia Diallo (www.rabiadiallo.com) pour cette opportunité. Tu es la meilleure!
Vous trouverez ci-après l’extrait audio. J’en suis émue, réellement!
Voici ce qu’elle en dit sur sa page Facebook :
Du Kokalam était à l’honneur dans notre chronique littéraire jeudijelis sur WAT FM avec Daouda Sané et le moins qu’on puisse dire, c’est que la relève est assurée…c’est une plume qui n’a rien à envier à celle de Mariama Ba…Larmes et rires, compassion et clarté, honnêteté et intelligence, elle déclenche en chacun de nous une sorte de révélation, les banalités de la vie des autres deviennent moins banales finalement, ceux qui ne disent rien, qui subissent cette épée de Damoclès, qui vivent leur souffrance dans un silence, seul complice, finalement, de leurs pensées…Elle révèle surtout le regard qu’ils portent sur eux même, le silence de ceux qui les regardent, mais qui ne les voient pas, qui ne les comprennent pas…Zoubida Bengeloune relève le défi…on arrive à aimer ces bourreaux, ces fautifs, ces marginaux…et je me suis même attachée à Compressor, cette redoutable rivale, humaine, et fragile, une Madame tout le monde finalement…bref, si vous avez envie de faire un tour dans la tête de tous ces incompris, ou avez envie d’apprendre à relativiser, si vous avez envie de vous dire « ah, quand même ! », de voir la vie à travers cette jolie plume déclencheuse d’émotions, et tellement captivante, cliquez sur www.dukokalam.com
Ps: si vous aussi vous souhaitez passer dans jeudi je lis, ou souhaitez faire parler d’un ouvrage en particulier, contactez-moi par MP…
Zoubida Bengeloune, Marocaine résidant au Sénégal : « On s’est fondu dans la population » - YABILADI (03/08/10)
VIDÉOS
Le Cercle d'Influence : Conversations féminines : mythes & incompréhensions autour du combat des femmes (15/08/2022)
1h
RTS2 Sénégal - Digital Connect (18/05/22)
1h 18
iTV Sénégal - Belles lignes (15/05/22)
42min35
Medi1TV Afrique - Sénégal: la parole se libère grâce aux blogs (24/04/22)
2min 09
TFM - Xibaar yi 19h par Cheikh Diop (28/11/21)
Reportage à 16min 18
TFM - JT 20h avec Léa Soukeyna Ndiaye (28/11/21)
Reportage à 15min 37
RTS1 Direct - Xibaar Yi 19h (28/11/21)
Reportage à 26min 20
2STV Senegal, Journal de 20h avec Ndeye Arame Toure (27/11/21)
Reportage à 26min 08
Afterwork Littéraire - La longue marche des femmes vers Zéro Violence : Entre leurres et lueurs (26/11/21)
1h42
BBC Afrique (25/01/21)
3min26
La Chronique des Jumeaux (17/11/19)
1h28
TITD (10/09/19)
1min54
Les miroirs du silence (20/11/18)
3min37
TAAG-TALKS 1: La lecture et l'écriture à l'ère du digital (10-11/02/18)
16min53
PUBLICATIONS EXTÉRIEURES
Je viens de loin - SADIO MAG (Nouvelle, 2020)
Takkou Souf - LE SOLEIL (Nouvelle 12/2017)
Voici le publicommuniqué du podcast Conversations Féminines :
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